L’oreille du ministre n’est pas toujours très attentive à ce que disent les enseignants ; il avait par exemple refusé d’accorder une demi-journée banalisée pour participer à la concertation. Alors, le syndicat est allé la recueillir cette parole, pour mieux la porter dans les négociations. Une démarche approuvée par les intéressés. Ils ont été près de 24 000 à répondre à l’enquête conduite avec Harris interactive.